Strophe 1
Quel bonheur d’être en famille,
D’être aimé, surtout d’aimer!
Au doux foyer qui pétille
L’homme fort peut se former.
Entouré de ceux qu’on aime,
On doit cultiver son cœur;
On se connaît mieux soi-même,
Et l’on devient un vainqueur.
On se connaît mieux soi-même,
Et l’on devient un vainqueur.

Strophe 2
La victoire est difficile,
Mais le combat bienfaisant.
Si parfois l’amour vacille,
Ce n’est pas pour bien longtemps.
On supporte avec tendresse,
On pardonne avec bonheur;
Le cœur rajeunit sans cesse;
L’amour est le grand vainqueur.
Le cœur rajeunit sans cesse;
L’amour est le grand vainqueur.

Strophe 3
Qu’une humeur toujours sereine,
Avec la céleste paix,
Règne seule en souveraine
À mon foyer désormais!
Cher foyer, combien je t’aime!
Combien je vais te choyer,
En attendant qu’au ciel même
Se transporte mon foyer!
En attendant qu’au ciel même
Se transporte mon foyer!